Nous
voilà après avoir fait le tour des hébergements de Livingstone à
l'hôtel Fairmount. Une belle grande chambre, une piscine, l'eau
courante, et même la clim', quand elle marche.
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Galane a déjà trouvé des copines |
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Petit-dej à l'hôtel |
Ca fait du bien de se
reposer un peu en famille après ces 4 journées épiques.
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Déj au First Place, notre repaire Nshimesque |
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Ca balance à Livingstone |
On se demande encore si on va pousser vers la lac Kariba, à quelques heures au Nord Est, puis Lusaka.
Mais on veut rester à portée de
vue du Botswana au cas où Tristan recevrait sa validation de
licence, afin de pouvoir rentrer à Maun faire la demande de permis
de travail.
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prise en otage
pour poser sur la photo des jumeaux...
Anémone a fait de la résistance |
On espère encore aussi pouvoir se marier, peut-être à
l'ambassade, afin d'obtenir le visa de résident pour les filles et
moi, mais les nouvelles ne sont pas bonnes alors petit à petit on
laisse tomber. Je me retourne sur la possibilité de trouver du
travail et donc de récupérer et faire traduire mes diplômes, pour
ma propre demande de permis de travail, mais c'est pas une mince
affaire. On part dans l'optique de fabriquer des versions originales
à partir de scans, mais les impressions ici sont vraiment mauvaises
et puis je ne suis pas très à l'aise avec ça. Heureusement la
mairie de Lioux scanne les principaux à l'alliance française de
Gaborone, qui pourra les traduire et les certifier via l'ambassade.
Pffiou quelle mascarade... Encore faut-il que je trouve un job !
Enfin
on profite, à commencer par la visite aux mythiques
CHUTES VICTORIA.
Heureux
mais épuisés de cette journée, on mange au resto indien de l'hôtel
(hé oui les Indiens sont partout ici). On se lèche les babines
devant ce menu géant de plats indiens pendant 20min jusqu'à ce que
la serveuse vienne prendre notre commande. Manque de chance le chef
indien n'est pas là ! Bon ben ce sera poulet-village et frites.
Le
lendemain on change de crèmerie, on opte pour le Chapa Classic (si
c'est pas indien, ça encore), avec encore une piscine sympa, mais
c'est juste pour une nuit parce qu'on a finalement trouvé une
location.
Nous
voilà depuis dans cette maison tenue par une Zambienne qui vit là
avec ses filles, et où logent des travailleurs venus de loin. On a
une belle grande chambre pour à peine 130€ par mois, c'est
parfait. On partage la cuisine, et du coup aussi les recettes, cool
parce que mon premier Nshima naurait pas été mangeable sans
Blessing la plus âgée des 2 filles. On y croise un gars qui fait de
la radio, dont la famille vit près de l'Angola, un autre qui bosse
pour l'EDF local, qui vient de Copperbelt (la région des mines de
cuivre au Nord) et attend sa fiancée, et une femme qui fait la
réception de nuit dans un lodge du coin. C'est pas très animé mais
on a souvent la maison pour nous et Galane s'est fait une copine de
Tina, la plus jeune qui doit avoir 8 ans.
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La rue Nkwilimba ("pigeon") |
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Notre nid douillet |
La
journée, on continue de découvrir la ville et notamment au détour
d'une rue ce temple hindou. Sur la façade sont affichés les noms
des adeptes, et leur fonction. Pratiquement tous les grands magasins
ou lieux touristiques y sont. La ville est décidément tenue par les
Indiens.
On
mange au restaurant Zam-mex, qui propose des quesadillas entre autres
plats de Nshima. C'est en fait le fruit d'une association espagnole (Kubuka Ngo) qui soutient les enfants qui souhaitent entrer en secondaire. Tiens
il faudra leur présenter Ivor.
Lui
reçoit un Portugais en ce moment qui a travaillé 5 ans en Angola et
qui fait un petit tour de l'Afrique avant de rentrer.
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soirée match avec une invitée exceptionnelle... |
Et
puis il emménage dans une maison un peu laissée à l'abandon depuis
que sa propriétaire, une Anglaise âgée, est rentrée au
Royaume-Uni pour des soins. On a rencontré sa fille qui ne
souhaitait louer qu'à des blancs apparemment, qu'à cela ne tienne,
on est là et puis ça lui permettra de recevoir plus de monde et en
mode payant, d'autant que la saison va reprendre...
MERCI, MERCI ET MERCI ; ET PUIS BRAVO , c'est pas facile, il faut beaucoup de patience, comme ici quoi! mais c'est régalant. Pour nous, enfin je crois aussi pour vous d'après les photos.Génial votre impressions des chûtes. Merci Aurélie et je le répète patience. Le printemps vient après l'hiver et puis... J'envie les filles GROSSES BISES.
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